27 février 2022 : Photos et textes Guy T.
Le soleil efface le givre sur les prés autour de la chapelle Saint Vincent notre point de ralliement.
Autour de celle-ci les voiles de protection des arbres fruitiers sont encore ferlées et hissées au sommet des piquets.
L’ensemble ressemble aux voiles des navires de la marine marchande des siècles précédents ou encore aux mouvements des vagues d’une mer peu agitée.
Nous descendons de la colline en direction de Thurins et la Grande Côte. Les voiles de protection sont déployées balayant le côté du chemin.
L’eau est présente sous forme de rivière ou de retenue d’eau.
Les croisements des chemins anciens sont balisés par des croix en pierre, en fer forgé ou en en fonte moulée.
Les arbres fruitiers endimanchés, les groseilliers à fleurs, les bourgeons naissants et une hellébore fétide (ou pied de griffon) nous annoncent l’arrivée des beaux jours.
Nous avons croisé peu d’animaux mais, tout de même, un chien sympa rempli de curiosité, un cheval botté et d’autres à crinière longue, des chèvres bavardes .
La pause de midi s’est faite au bord d’un champ cultivé
Bien sûr il y eut des haltes pour se raconter, se ressourcer à sa gourde ou tout simplement pour souffler.
Et c’est le retour par un faux plat montant, naturellement, pour retrouver les abords de la chapelle avec la lecture du panorama et l’utilisation, par Mathieu, du rocher « transfert d’énergie » ( mais en a t-il besoin ?…)
Sous la conduite de Grégoire, Marc et Christian pour 15 km, dénivelé 400 m env.
