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Rando Lyon du 25 mars 2022 N°104

Dernière mise à jour : 2 avr. 2022

Jean-Paul Méric et Monique Escoffier – 17 participants

Textes Jean-Paul M., Monique E, Pierre L, photos Pierre L.

4 heures de découvertes sur 7 kilomètres de randonnée


Des jardins suspendus de Perrache au Parc Joseph KAPLAN de La Buire


Rendez-vous à 13 heures sur La place CARNOT :

Le nom de place Carnot lui est officiellement attribué, par délibération du conseil municipal du 18 février 1889, en honneur du général Lazare Carnot.

LA STATUE DE LA REPUBLIQUE qui date de 1980.




De la place Carnot à Perrache il n’y a qu’un pas.


Au fil des les années, le quartier s’est dégradé et a pâti d’une image négative.

En 1990 le Grand Lyon décide de le dynamiser et de l’inscrire dans le concert national et international grâce à des constructions contemporaines offrant logements, bureaux, espaces verts et commerces.

Un tunnel réservé aux modes doux de circulation permet le passage sous l’échangeur de PERRACHE entre la place Carnot et la place des archives.








Des illustrations des bâtiments et réalisations emblématiques les plus connus de Lyon jalonnent les murs de ce passage France PEJOT, résistante lyonnaise.


Un petit film comme si vous y étiez.






Au bout du tunnel on arrive sur la place des Archives.


Derrière une grande verrière, dans l’ancien centre de tri postal entièrement réhabilité se trouvent plus de huit siècles de mémoire lyonnaise.






Face aux archives, la Faculté Catholique de Lyon UCLY, qui a été délocalisée de la Place Bellecour vers la Place Carnot.






Depuis cette place, nous montons un escalier nous conduisant à des jardins suspendus inattendus.

Depuis les escaliers quelques vues :








A l’intérieur, la suspension "luminaire" de la gare de Perrache.





Et nous atteignons LES JARDINS SUSPENDUS.

Sur les toits, au 4ème niveau de l’échangeur inauguré en 1976, existent des jardins suspendus au caractère presque confidentiel d’une superficie de 12000 m2.








Depuis ces jardins, on peut apercevoir l’ancien hôpital Debrousse, l’église de Saint-Irénée et la basilique de Fourvière.








Quelques fleurs de printemps.




On a une vue plongeante sur la Brasserie Georges, créée en 1836 par Georges HOFFHERR.





Nous quittons ces jardins inattendus pour traverser le pont Gallieni avec une vue splendide sur les berges du Rhône que nous parcourons ...






jusqu’au pont de l’Université.


Ce pont est notamment remarquable par sa dentelle métallique qui le différencie de tous les autres ponts lyonnais. On peut remarquer deux coqs au milieu des rambardes du pont.






Nous quittons les berges du Rhône jusqu’à l’ancien garage Citroën situé Rue de Marseille :

Il a été construit entre 1930 et 1932 par Maurice-Jacques Ravazé, qui était alors à la tête du service d'architecture de Citroën. C’est le seul des 20 garages de ce style Art Déco qui reste en l’état.








Puis nous arrivons au jardin d’Amaranthes, au milieu d’un quartier populaire avec un balcon insolite!






Nous passons ensuite par la rue d’Anvers, la rue de la Madeleine, la grande rue de la Guillotière, puis cours Gambetta où l’on peut voir LE COQ de Camille OTERO dont une copie se trouve à Compostelle.





Nous traversons le cours Gambetta et remontons vers l’Est.

Nous arrivons à un autre petit jardin : le jardin Suzanne BUISSON.

Suzanne Buisson, femme politique et résistante fut déportée à Auschwitz en juin 1944, après avoir été internée à la prison Montluc. Elle décède en juillet 1944.







Nous traversons un pont qui nous permet de voir un arrêt et la gare du tramway T4 qui ressemble à une gare de train de banlieue.

Du pont nous pouvons voir une fresque en hommage à Jean MOULIN.








Nous nous rapprochons de la Part-Dieu, et traversons quelques nouveaux quartiers.






Nous remontons l’avenue Félix Faure avec 3 maisons ART DECO de 1875








La sortie se termine Place Bir Hakeim.


NB - Textes et informations rassemblés à partir de diverses documentations et ouvrages ainsi que par le biais d’internet par Monique ESCOFFIER et Jean-Paul MERIC.


Un grand merci à nos deux animateurs qui ont su une nouvelle fois nous faire découvrir certaines richesses de notre Capitale des Gaules.




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